« Tout le plaisir de l’amour est dans le changement », déclarait l’insatiable Dom Juan à son valet Sganarelle dans la célèbre pièce de Molière. Cet éloge de l’infidélité écrit au XVIIe siècle n’a pas pris une ride. Les livres aux titres évocateurs font les choux gras des libraires : « Comment tromper son conjoint en toute impunité », « Bienheureuse infidélité », « L’art d’être infidèle »… Conséquence directe de cette banalisation, hommes et femmes affichent sans complexe leur soif d’écarts sexuels, largement facilitée par Internet. Le cinq à sept serait donc un besoin comme un autre ?
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